Compte-rendu chat du 12 novembre 2017
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Compte-rendu chat du 12 novembre 2017
Bonjour,
Avec un peu de retard, je poste la synthèse de la session chat du dimanche 12. Je l'ai volontairement réduite au minimum afin de favoriser la lisibilité.
Nous avons passé un moment plutôt agréable et dynamique. A vous tous de vous questionner et de voir si l'expérience doit être poursuivie ou non, en fonction de votre intérêt et de votre motivation potentiels.
Je vais ouvrir un sujet pour la prochaine session, que je propose pour le dimanche 10 décembre 17h.
Le compte-rendu :
La séance a été consacrée, suite à la proposition de goug1805, aux moyens utilisés pour stimuler la reproduction de nos protégés.
Cinq membres ont participé aux échanges : goug1805, faf81, richard55, Elendyl08 et moi-même. C’est peu, mais c’était prévisible…
La discussion montre rapidement que nous utilisons, évidemment, les mêmes moyens :
- Variations du pH, à la baisse, à l’aide d’extrait de chêne (industriel ou fait maison), de feuilles de chêne, d’eau osmosée, d’eau de pluie, de tourbe, de fruits d’aulne…
- Changements d’eau plus ou moins importants pour provoquer une baisse de la température.
- Variations de la température, généralement à la hausse.
- Changements dans l’alimentation, pour la rendre plus riche ou en distribuant des proies vivantes.
- Modifications dans l’aménagement du bac.
Mais chacun a ses préférences, en fonction des espèces ou des habitudes acquises au fil des expériences.
Est notée l’influence déterminante des baisses subites de la pression atmosphérique, notamment lors des épisodes orageux, et question est posée de savoir si les cycles lunaires jouent également à ce niveau, comme c’est par exemple le cas, connu depuis longtemps, chez les tortues de terre, ou sur l’activité de certains poissons (carpes). Pour la pression atmosphérique tout au moins, il est bon de coupler un ou plusieurs des éléments susnommés avec la prévision de sa variation à la baisse.
Nous avons évoqué un peu plus précisément la question de l’élevage et de la reproduction des Apistogramma, en lien avec les interrogations de goug1805 au sujet de l’espèce eremnopyge, pour en arriver à quelques conclusions :
- Un bac pour Apistogramma n’a pas besoin d’être surdimensionné et il faut privilégier, comme souvent, la surface au sol. Des éleveurs reconnus reproduisent quantités d’espèces avec 20cm de hauteur d’eau. Un bac de 40x40x25 est suffisant la plupart du temps, ou 60x30x25.
- Pour les espèces particulièrement timides, multiplier les plantes de surface, les branchages et tamiser l’éclairage afin de favoriser leur sentiment de sécurité.
- Pour les espèces acidophiles, un pH de 6 suffit très souvent, mais certaines demandent un pH de 5 voire moins et il est impératif de s’en rapprocher pour espérer une reproduction.
Nos échanges au sujet de la nourriture, paramètre essentiel de la bonne santé de nos poissons, nous ont conduits à rappeler que s’ils sont pratiques et plutôt nourrissants, les vers de vase rouges congelés (larves de Chironome) sont à proscrire dans la mesure du possible car ils sont des réservoirs à substances toxiques. Il faut leur préférer, en vivant, les artémias ou les cyclops. Est évoquée la daphnie vivante, excellente nourriture dont raffolent tous les petits poissons et dont l’élevage est possible en extérieur à condition que l’eau soit bien oxygénée et qu’elle demeure fraîche.
Rendez-vous est pris pour une prochaine session dont il reste à déterminer le sujet !
Avec un peu de retard, je poste la synthèse de la session chat du dimanche 12. Je l'ai volontairement réduite au minimum afin de favoriser la lisibilité.
Nous avons passé un moment plutôt agréable et dynamique. A vous tous de vous questionner et de voir si l'expérience doit être poursuivie ou non, en fonction de votre intérêt et de votre motivation potentiels.
Je vais ouvrir un sujet pour la prochaine session, que je propose pour le dimanche 10 décembre 17h.
Le compte-rendu :
La séance a été consacrée, suite à la proposition de goug1805, aux moyens utilisés pour stimuler la reproduction de nos protégés.
Cinq membres ont participé aux échanges : goug1805, faf81, richard55, Elendyl08 et moi-même. C’est peu, mais c’était prévisible…
La discussion montre rapidement que nous utilisons, évidemment, les mêmes moyens :
- Variations du pH, à la baisse, à l’aide d’extrait de chêne (industriel ou fait maison), de feuilles de chêne, d’eau osmosée, d’eau de pluie, de tourbe, de fruits d’aulne…
- Changements d’eau plus ou moins importants pour provoquer une baisse de la température.
- Variations de la température, généralement à la hausse.
- Changements dans l’alimentation, pour la rendre plus riche ou en distribuant des proies vivantes.
- Modifications dans l’aménagement du bac.
Mais chacun a ses préférences, en fonction des espèces ou des habitudes acquises au fil des expériences.
Est notée l’influence déterminante des baisses subites de la pression atmosphérique, notamment lors des épisodes orageux, et question est posée de savoir si les cycles lunaires jouent également à ce niveau, comme c’est par exemple le cas, connu depuis longtemps, chez les tortues de terre, ou sur l’activité de certains poissons (carpes). Pour la pression atmosphérique tout au moins, il est bon de coupler un ou plusieurs des éléments susnommés avec la prévision de sa variation à la baisse.
Nous avons évoqué un peu plus précisément la question de l’élevage et de la reproduction des Apistogramma, en lien avec les interrogations de goug1805 au sujet de l’espèce eremnopyge, pour en arriver à quelques conclusions :
- Un bac pour Apistogramma n’a pas besoin d’être surdimensionné et il faut privilégier, comme souvent, la surface au sol. Des éleveurs reconnus reproduisent quantités d’espèces avec 20cm de hauteur d’eau. Un bac de 40x40x25 est suffisant la plupart du temps, ou 60x30x25.
- Pour les espèces particulièrement timides, multiplier les plantes de surface, les branchages et tamiser l’éclairage afin de favoriser leur sentiment de sécurité.
- Pour les espèces acidophiles, un pH de 6 suffit très souvent, mais certaines demandent un pH de 5 voire moins et il est impératif de s’en rapprocher pour espérer une reproduction.
Nos échanges au sujet de la nourriture, paramètre essentiel de la bonne santé de nos poissons, nous ont conduits à rappeler que s’ils sont pratiques et plutôt nourrissants, les vers de vase rouges congelés (larves de Chironome) sont à proscrire dans la mesure du possible car ils sont des réservoirs à substances toxiques. Il faut leur préférer, en vivant, les artémias ou les cyclops. Est évoquée la daphnie vivante, excellente nourriture dont raffolent tous les petits poissons et dont l’élevage est possible en extérieur à condition que l’eau soit bien oxygénée et qu’elle demeure fraîche.
Rendez-vous est pris pour une prochaine session dont il reste à déterminer le sujet !
Invité- Invité
Re: Compte-rendu chat du 12 novembre 2017
Merci David
J espère être la ,et sans problème cette fois 😀
J espère être la ,et sans problème cette fois 😀
richard55- Admin
-
Nombre de messages : 6475
Age : 59
Localisation : Sommedieue
numéro afc : 1226.55
Loisirs/emploi : Chef de chantier charpentes métalliques + membre de l'Aquario club de Thierville
Date d'inscription : 31/05/2012
Re: Compte-rendu chat du 12 novembre 2017
Désolé,j avais pas vu !Belle synthese,et encore désolé pour mes soucis de connection,probleme résolu,et fin pret pour le 10!C est une trés bonne initiative,il faut perseverer!Bravo!
Invité- Invité
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